NiGHTS: Journey of Dreams est un jeu unique mêlant action et simulation de vol, où vous pouvez voltiger à travers un monde onirique rempli de décors époustouflants, de créatures mystiques et de monstres cauchemardesques.
Dans le rôle du héros fantastique de NiGHTS, utilisez la manette Wii pour manœuvrer physiquement chacun de ses mouvements alors qu'il plane, plonge, flotte et virevolte dans le ciel de Nightopia, l'univers où les rêves prennent vie.
Nightopia a été envahie par les monstres appelés Nightmarens, et c'est à NiGHTS de sauver le monde, en utilisant ses capacités acrobatiques, sa technique de vol et ses pouvoirs spéciaux obtenus à travers l'utilisation de masques changeurs de forme.
La télécommande Wii vous permet de contrôler le moindre mouvement de NiGHTS, qu'il plane, zigzague, plonge, virevolte ou atteigne des vitesses phénoménales.
Dightopia est un véritable joyau, offrant sept environnements extraordinaires où vivent des créatures mystiques et des monstres cauchemardesques.
Incarnez Will ou Helen et préparez-vous à une aventure différente avec chacun d'eux.
Un scénario riche et passionnant, qui requiert force intérieure et courage.
Un mode multi-joueurs à 2 et des fonctions en réseau dès son lancement.
En 1996, le premier volet des périples du héros volant de SEGA fait son apparition sur la console de jeu Saturn. Depuis, la firme au hérisson bleu est régulièrement harcelée par les fans de la première heure, pour enfin qu’elle leur propose une aventure inédite de NiGHTS. C’est aujourd’hui une réalité, un titre qui se présente à nous en tant que suite, mais qui dans le contenu a davantage la saveur d’un remake. Malgré cela, plus de dix ans se sont écoulés, une génération de joueurs a passé, vivons l’instant présent, celui d’Helen et de Will, les deux enfants qui doivent défendre leurs rêves dans ce nouvel épisode…
Tous deux âgés de douze ans, William est un talentueux footballeur qui depuis que son père a été muté pour raisons professionnelles, fait régulièrement des cauchemars. Helen aussi ne passe plus de très bonnes nuits depuis quelques temps, mais à l’inverse de Will, c’est elle qui en grandissant délaisse peu à peu sa maman qui a mis tant d’efforts pour lui apprendre à jouer du violon. L’un se sent abandonné, l’autre éprouve de la culpabilité, au fil du temps un monde obscure a envahi leur cœur, il est grand temps d’aider ces chères têtes blondes à le combattre dans NiGHTS : Journey of Dreams sur Nintendo Wii !
Vivre ses rêves…
Le jeu est ainsi découpé en deux histoires, qui toutefois s’entrecroisent et se complètent pour peu que vous décidiez de vivre pleinement les deux expériences. Il y a le rêve de Will et celui d’Helen, dans lesquels il vous est possible de plonger indépendamment l’un de l’autre. Dans la Night Dimension, il existe deux univers ; Nightopia est un monde aux couleurs des rêves du protagoniste (ou visiteur) ; souvent enchanteur et coloré, des créatures appelées Nightmarens ont commencé à l’envahir ! Maître Wizeman est le machiavélique créateur de Nightmare, un monde qui tir toute sa force du mal qui ronge les êtres humains. Son ambition est bien évidemment de détruire Nightopia, et il en est proche ! Plus qu’un Ideya et le tour est joué !!
Les Ideyas, sont les étincelles positives qui habitent le cœur des hommes. Au nombre de cinq : Espoir, Pureté, Intelligence, Maturité, plus qu’une seule est en possession de nos enfants, celle du Courage. C’est ainsi que votre principale quête dans NiGHTS, est de récupérer tous vos Ideyas en parcourant les différentes régions du Nightopia de Will, et celui d’Helen, dont seules quelques missions et paysages se révèlent identiques. Trois régions existent ainsi, celles-ci sont accessibles par des passages que vous débloquez au fur et à mesure et tous situés à la Porte des Rèves, un endroit qui par la même occasion vous permet de rencontrer pour la première fois Owl et NiGHTS.
Owl, le Grand Duc, vous aide tout au long du jeu, il vous apprend à voler, pour ensuite vous donner des indications précieuses dans chaque mission. NiGHTS est un personnage énigmatique qui adore voltiger dans Nightopia, un rebelle avec qui il vous est possible de dualiser pour, à votre tour, flâner dans les airs et cela de plusieurs façons. C’est ainsi qu’il est possible de jouer à NIGHTS : Journey of Dreams de quatre manières différentes : Avec une Wiimote, le duo Wiimote/Nunchuk, le Pad Classique et enfin avec une Manette GameCube. Toutefois, seuls deux styles de jeu se différencient réellement, celui made in Wii et la voie classique, deux configurations qui méritent d’être développées…
Free Style et/ou Classic Mode
En mode Wiimote seule, on déplace une cible à l’écran nommée Vision Mentale, pour que NiGHTS la suive de façon plus ou moins rapide. En effet, plus vous éloignez celle-ci du personnage, plus il va vite et plus contrôler sa trajectoire devient difficile. La zone où déplacer sa Vision Mentale est limitée, une contrainte qui se traduit à l’écran par un changement de couleur de la cible. Tout l’art de ce style est d’arriver à jauger l’éloignement, tout en combinant les accélérations permises par le gameplay.
Une fois ces mécaniques solidement apprivoisées, on prend un réel plaisir à voltiger. NiGHTS est particulièrement souple, il se déplace dans l’air comme un poisson dans l’eau et la Wiimote procure un plaisir de jeu sans commune mesure. Toutefois, certaines épreuves auxquels vous êtes confronté ne sont absolument pas optimisées pour être joué à la télécommande. On pense ici aux séquences qui imposent de piloter un bolide dans le rêve de Will, ou encore certains combats contre les boss qui s’avèrent chaotiques avec la Wiimote seule !
Ces durs moments, imposent donc d’office le choix d’une voie classique pour y prendre un tant soit peu de plaisir. Certains opteront alors pour le tout joystick, qu’il soit celui du Nunchuck, du Pad Classique ou encore celui d’une Manette GameCube. Le maniement s’avère ici rustique certes, mais aussi inévitable. Les plus attachés aux sensations offertes pas la Wiimote dans une configuration de voltige, permuteront eux régulièrement de style en connectant/déconnectant le Nunchuk, puisque le système gère cela de façon dynamique, une maigre satisfaction, me direz-vous…
Comme un poisson dans l’eau…
Ceci étant dit, voyons voir ce qu’il est possible d’exécuter comme gymnastique avec notre talentueux acrobate. Les différents parcours sont relativement interactifs, NiGHTS sait admirablement bien voler et la première chose que l’on apprend à faire, c’est de s’amuser à enclencher le fameux Drill Dash. Cette action accélère grandement la vitesse de déplacement de notre héros, ce qui va vous permettre non seulement de respecter un impératif temps, mais aussi de vous débarrasser de Nightmarens encombrant le parcourt sans perdre de vitesse, et donc de temps. Attention, une jauge est là pour contraindre cette action…
Le Dash Power est ainsi visible en bas à gauche de l’écran de jeu, il se vide progressivement en conséquence de l’utilisation du Drill Dash, et vous le remplissez au fur et à mesure que vous traversez les Rings croisés sur votre route. Toute la difficulté est ici d’accélérer au bon moment, relâcher la pression pour prendre un virage plus que serrer, pour ensuite se replacer dans un axe correct pour traverser une nouvelle série de Rings en ré-accélérerant de plus belle ! A noter qu’il existe trois types de Rings, les jaunes qui disparaissent lorsque vous les traversez, les vertes qui elles restent en place quoi qu’il arrive et que l’on rencontre la plupart du temps dans les niveaux restreints, et enfin les épineuses qui peuvent faire perdre beaucoup de temps si elles sont touchées.
L’autre mouvement, absolument nécessaire au gameplay de NiGHTS, est le Paraloop. Celui-ci consiste en un looping, une boucle plus ou moins large qui lorsqu’elle est correctement bouclée, permet de capturer certains items, Nightmarens et autres Nightopians qui s’y trouvent. Cette figure est régulièrement mise à contribution dans les niveaux, elle demande un certain temps pour être tout à fait maitrisée avec un geste de Wiimote, plutôt qu’un banal tour de joystick analogique. Notons aussi qu'en inclinant la télécommande, il est possible d'exécuter des figures spéciales. Enfin, certains niveaux se jouent à pied avec Will ou Helen ; le gameplay consiste ici à de la plateforme simpliste avec une gestion des placements, déplacements et mécanismes de défense bien trop approximative.
Au cœur de la performance…
Les trois régions existantes, proposent chacune cinq missions doté d’objectifs à la fois récurrents et originaux. Le premier, consiste toujours en une succession de trois poursuites où il s’agit d’atteindre, dans le temps imparti, un oiseau chevauché par un Nightmaren détenteur d’une clef. Ces missions là, sont également l'endroit où l'on se frotte une première fois avec le boss de la région. Malgré la linéarité de ces circuits, le degré de liberté offre la possibilité de naviguer librement sur un axe important. De haut en bas, de droite à gauche, vers l’avant ou l’arrière, dans l’air ou sous l’eau, l’exploration d’un parcourt offre son lot de découvertes, d’autant plus si vous jouez le jeu des quêtes secondaires…
Des power-ups, vont ainsi vous permettre d’exécuter de plus larges Paraloops pour alors capturer plus de Blue Chip (Energie Mentale) et créatures en un seul mouvement, mais aussi restaurer entièrement votre jauge Dash Power, arrêter le temps durant quelques secondes et d’autres encore. Autant de ressources qui vont contribuer à augmenter votre High-score sur une mission spécifique, être récompensé par des goodies bien sympathiques ou encore élever votre rang global sur le niveau, celui-ci allant de la note la plus basse : "D", à la plus haute : "A". Par exemple, accomplir toutes les missions avec un rang C est nécessaire pour récupérer le tout dernier Ideya…
Missions variées, parfois mal optimisées…
Au-delà des course-poursuites, dans d’autres missions il est question d’enchainer un maximum de Links, ceci consistant à traverser les Rings et récupérer des Blue Chips sans un écart de temps supérieur à une seconde ! Si c’est le cas, le compteur de Links revient à zéro. Dans d’autres endroits il s’agit de sauver des Nightopians aspirés par un vortex en exécutant une multitude de Paraloops, mais aussi de piloter NiGHTS dans le cadre de transformations appropriées et spécifiques à l’environnement.
Dans le rêve de Willon dévale ainsi une rivière en évitant troncs d’arbres et autre Nightmarens, mais aussi des montagnes russes en esquivant les rochers tout en récupérant les items offrant de folles accélérations. Ces séquences de jeu ajoutent de la variété, mais malheureusement ne sont absolument pas abouties, et donc pas réellement divertissantes. Les contrôles sont ici trop rigides de manière générale et absolument pas optimisés pour les capteurs de la Wiimote en particulier (Ceci vous obligeant à connecter le nunchuk, si vous n’avez pas opté pour un style 100% classique).
Une fois débarrassé définitivement d’un boss, vous récupérez l’un de vos Ideya, mais aussi un coffre renfermant un masque magique qui confère à NiGHTS de nouveaux pouvoirs, nommes Persona. Au nombre de trois, ils transforment notre héros en un Dauphin vous permettant d’évoluer sous l’eau [Mais qui a parlé d'Ecco !?], un Dragon capable de résister aux fortes rafales de vent et enfin une Rocket. Autant les Persona Dauphin et Dragon sont aussi agréables à piloter que NiGHTS, autant le missile est beaucoup trop rigide et demande, le cas échéant, de reconnecter son Nunchuk. Ceci dit, il est intéressant de parcourir les niveaux avec toutes ces nouvelles formes, une fois l’histoire achevée…
My Dream, une place appart…
C’est aussi à la Porte des Rêves, que l’on a accès à My Dream. Cet endroit, magique, se synchronise avec la Chaine Météo pour y reproduire le temps qu’il fait chez vous ! Au début du jeu c’est une surface plane où l’on y trouve uniquement des Nightmarens, mais en parcourant les différents mondes, il est possible de le peupler avec des Nightopians capturés à l’aide de Paraloops. Plus il y a de Nightopians à My Dream et plus l’endroit revit ! De plus, selon que vous vous y rendiez souvent et la façon dont vous vous occupez des lieux, cela peut réserver son lot de surprises aléatoires, qu’il appartient à vous seul de découvrir…
Sachez, toutefois, que des objets bonus peuvent s’y installer et même être détruits ; ceux-ci sont à gagner en réalisant de belles performances dans les différents niveaux. Par ailleurs, dans My Dream il est aussi possible, via le Wi-fi Connection, d’inviter une personne à vous rejoindre, soit une connaissance en échangeant votre Code Ami, soit un parfait inconnu si vous arrivez à en trouver un. Bien évidemment, vous aussi, pouvez être invité, et pourquoi ne pas y échanger des cadeaux ! La communication se fait ici à l’aide de smilleys qui offrent la possibilité aux joueurs d’exprimer leurs sentiments.
A noter, toujours dans le cadre des quêtes secondaires, la possibilité de collecter jusqu’à soixante Dreamdrops - des gouttes d'eau - dans les niveaux qui composent NiGHTS : Journey of Dreams. Ces items sont cachés et une fois tous réunis vous réservent une sympathique surprise. Les performeurs eux iront plus loin que ça en comparant leur score au niveau mondial grâce encore au NWC, qui permet également de participer aux courses et batailles du mode multi-joueurs. En bref, vous l’aurez compris, ce nouveau NiGHTS recèle nombre de quêtes secondaires et d'imprévus...
Un arrière gout amer…
Modes multi-joueurs, parlons-en un peu ! Jouables aussi bien en local que sur le net, ils sont deux, pour chacun quatre arènes à débloquer dans les rêves de Will et Helen. En mode Course, vous bataillez contre un adversaire, le premier arrivé a gagné. Dans Bataille, il s’agit de récupérer avec votre personnage (NiGHTS ou Reala) de grosses boules auxquelles il peut se coller ; tout en tournoyant sur un axe figé, il vous faut alors parvenir à en lancer trois sur votre adversaire pour gagner. Ces modes de jeux offrent un tout petit plus au titre ; seul deux personnages sont disponibles, en local l’écran splitté n’offre pas la meilleure visibilité, et online, bon courage à vous pour trouver un adversaire sans code ami…
Du côté des apparats, le jeu, ainsi que les deux histoires débutent brillement avec de superbes et lumineuses cinématiques en images de synthèse, comme on a l’habitude de voir dans les productions de la Sonic Team. Cette magie s’estompe lors de votre entrée à la Porte des Rève, qui bénéficie pour le coup d’un rendu et d’une construction relativement fade. Les niveaux eux sont beaucoup plus chaleureux, Nightopia est très colorés, même trop parfois ! Les paysages n’ont ainsi pas bénéficié de la même rigueur, et malgré que le jeu reste dans son ensemble agréable à regarder voir par moment réellement flamboyant, ces irrégularités cinglantes, tant au niveau du plaisir de jeu que du visuel, ne sont au bout du compte pas suffisamment à la hauteur de l'aura qui se dégage de cette précieuse licence qu’est NiGHTS.
Les histoires de nos personnages sont elles prenantes et poignantes, le jeu est entrecoupé de très nombreuses cinématiques en temps-réel qui rendent cet univers mystique, remarquablement captivant. L’accompagnement sonore contribue également à cela avec une bande son qui émerveille, mais malheureusement encore une fois les voix n’ont pas bénéficié d’un doublage en Français. Malgré ses défauts rageants, NiGHTS : Journey of Dreams demeurre tout de même un bon jeu, doté d’un univers riche et d’un gameplay qui s’affirme sur la durée. Le plus gros regret vient du manque d’aboutissement omniprésent, qui nous fait dire que SEGA aurait du laisser un peu plus de temps à la Sonic Team de San Francisco pour faire de cette nouvelle expérience sur Wii, une oeuvre figée dans le temps.
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/20 : NiGHTS : Journey of Dreams aurait sans doute fait très mal s’il avait été suffisamment abouti ! De l’aboutissement malheureusement on en voit que la lueur du jour, laquelle parvient tout de même à vous cramponner quelques heures à votre siège. Univers captivant, histoires poignantes, voltige addictive, défis corsés, quelques boss divertissants, on peste en revanche contre certaines séquences de jeu loin du divertissement attendu voir pire encore, absolument pas optimisée pour la Wiimote, imposant alors de jongler régulièrement avec le Nunchuk. Le rêve d’Helen est plus poétique et ludique que celui de Will, mais pourquoi donc !?
Gameplay : L’architecture du jeu aurait gagné à être davantage ouverte au lieu de se limiter à un banale découpage en missions, qui pour certaines ne sont d’ailleurs absolument pas justifiées. Reste qu’une fois maitrisée, le plaisir qu’offre la voltige est un véritable bonheur.
Durée de vie : Comptez tout au plus six heures pour boucler les deux histoires d’une traite. Pour tout débloquer et vivre pleinement l’expérience My Dream, c’est inchiffrable… Le multi-joueurs Course ou Bataille n’est vraiment pas addictif.
Graphismes : Entre fade et flamboyant, remarquablement vivant et tout autant mort, tous les niveaux n’ont pas hérité du même traitement.
Audio : Une bande son qui berce admirablement rêves et cauchemars.
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Respectivement, les enfants du 1er jouait du basket et chantait. Il y a beaucoup plus de cinématiques dans cet épisode. La Wiimote offre des sensations exceptionnelles dans le cadre des phases de plateforme aériennes. Le online offre une nouvelle dimension. Pour le reste oui, mais on n'a pas non plus un NiGHTS tous les ans comme on peut avoir des Sonic et autres Mario...