Dans THE HOUSE OF THE DEAD: OVERKILL™, votre mission est de repousser vague après vague d'horribles zombis assoiffés de sang pour survivre dans Bayou City et tenter de découvrir la terrible vérité qui se cache derrière THE HOUSE OF THE DEAD.
Du jamais vu dans le survival horror ! Un jeu... sanglant basé sur la célèbre franchise de shoot'em-up de SEGA. Tout frais sorti de l'académie, le célèbre agent G fait équipe avec l'agent Washington, un vrai dur, pour enquêter sur de mystérieuses disparitions en Louisiane. Ils étaient loin de s'imaginer l'horreur qui les attendait dans les rues et les marécages de Bayou City.
Caractéristiques
• Horreur retro et funky !
L'un des shoot'em ups les plus populaires avec un nouveau look rétro style B-movie.
• Une explosion de zombis extrêmement réaliste.
Action au pistolet non stop sur la Wii ; faites exploser les zombis et visez les meilleurs scores !
• Mode coopératif sur la Wii !
Jouez avec un ami dans votre propre film d'action - entrez dans la peau de deux des plus grands persos du jeu vidéo.
• Action continue, gore et démesurée
Si vous ne voulez pas perdre votre sang-froid face à cette invasion de zombis, il va falloir vous accrocher. Utilisez le mode “Slow-Mofo Time” pour décapiter votre victime d'un tir parfait et le mode “Evil Eye” pour découvrir quand vous pourrez mettre le feu à vos ennemis.
• Réactions wiimote.
Frayez-vous un chemin parmi les zombis grâce aux commandes Wii sensibles aux mouvements. N'oubliez pas, votre pistolet ne sert pas uniquement à tirer - si un zombi s'approche un peu trop, tapez-lui dessus avec la crosse... Vous serez aux premières loges pour voir sa réaction !
Le temps est venu de reprendre en main votre SEGA Gun ou Wii Zapper amis mutant-killers ! Un an à peine après la sortie du sympathique package regroupant The House of The Dead 2 & 3 (Voir le test), la firme au hérisson bleu vous propose en tant que devoir de vacance réservé aux 18 ans et plus, de dézinguer à tout va dans un épisode complètement inédit qui nous propose ni plus, ni moins, de découvrir l’origine du mal à Bayou City. On pouvait se douter à travers la masse de médias diffusés par l’éditeur, que le ton allait plutôt être à la franche Série B qu’au film d’épouvante qui fout la chiasse. Et bien c’est particulièrement convainquant, d’où mon vocabulaire vulgaire de jeune malpropre, qui n’a pour but que de vous y préparer.
Ainsi, tout au long du jeu vous aurez à faire aux échanges bien graveleux de nos deux protagonistes. L’Agent G et Isaac Washington ne cessent en effet de s’envoyer des bâches. Avalanche de "Fuck" de la part de l’un, humour non moins gras de la part de l’autre, quand ce n’est pas eux ce sont certains antagonistes qui s’en donnent à cœur joie. On se marre bien parfois devant cette sorte de parodie mais quand est-il au juste du jeu ?! Car nous on est pas venu là pour mater un film bidon, sinon on tiendrait une rubrique cinoche bien has-been. The House of The Dead : Overkill ne révolutionne pas le genre, il mise à fond sur un habillage des plus soignés. L’aventure est découpée en sept épisodes que l’on purge en à peine trois heures. Mais ça, c’est juste pour les fillettes.
Upgrade primaire mais utile !
En effet, après avoir fait le tour du propriétaire on se rend compte qu’il s’agit juste là de l’entraînement, que l’on pourra tout de même refaire quelques fois pour y acheter toutes les armes. Au-delà du mode "Histoire", Headstrong nous propose donc de participer au mode "Version Intégrale" où là, on se situe dans de l’arcade pure. Si dans le premier mode on avait les crédits infinis mais perdions un paquet de points lors de leur utilisation, ici on en a que trois mais nous conservons nos points chèrement acquis. Cette précision est importante car même si vous ne parvenez pas à achever le niveau, les points gagnés restent et vous rapportent de l’argent que vous pouvez investir dans de nouvelles armes et nouvelles upgrades pour celles-ci.
Au-delà de l’AMS Magnum, on trouve Revoler, Fusil à pompe, Fusil semi-automatique, Mitraillette ou encore le Fusil d’assaut. Les upgrades sont importantes car elles permettent vraiment de mieux s’en sortir. "Effet de recul", "Cadence de tir", "Taille du chargeur", "Dégâts" et "Recharge", tout ceci est important et demande pas mal d’argent. La prise en main reste simple, le bouton "B" et le viseur suffise à s’en sortir. Vous pourrez embarquer avec vous jusqu’à deux armes, interchangeables dans l’action via les boutons 1/2 ou C/Z. Maintenant, parlons du scoring. Car si terminer un niveau n’est pas très difficile en soi, ce qui l’est, c’est déjà de ne pas mourir une seule fois, et puis shooter tous les items qui débloquent les extras, en plus bien sûr des trousses de secours, grenades et ce fameux power-up qui ralenti le temps façon "bullet-time".
Goût de la perf. es-tu là ? Oui !
La note attribuée en fin de niveau dépendra de votre précision, mais aussi du nombre de coups tirés, de tirs à la tête, de meilleur combo, de l’aspect "sangsationnel" de votre parcourt et puis, comme déjà dit, du nombre de morts. Un autre critère non mentionné est le total des victimes, car dans Overkill il y a tellement de zombies parfois que la mise en scène peut vous les faire esquiver, ou simplement vous proposer des séances de tir au lapin. C’est ainsi durant ces moments que les gros durs pourront trouver de l’intérêt à rejouer encore et encore pour tenter de tout buter, car c’est chaud ! Par ailleurs, il est dommage que cette mise en scène justement propose au joueur uniquement des mouvements de tête un peu à la The Umbrella Chronicles (voir le test). Oui car aucun embranchement secondaire n’existe comme on avait pu les voir dans les précédents titres de la saga.
Du côté des Extras il y a vraiment matière à débloquer et certains défis proposés sont particulièrement hard. Vous trouverez ici tous les morceaux de la bande son qui est, non seulement très complète mais juste excellente. Il y a aussi tout ce qui touche à l’image avec les artworks, les modèles 3D et cerise sur le gâteau, trois clips vidéo dont la bande annonce du très attendu MadWorld (Voir preview). En bref du pain sur la planche il y en a de ce côté-ci mais notez bien, bien sûr, que cet aspect là du jeu s’adresse aux grands mordus du jeu de tir qui passeront un bon moment sur chacun des niveaux pour les connaître sur le bout des doigts. Enfin, The House of The Dead : Overkill n’oublie pas le multi-joueurs et nous propose à cette occasion un mode mini-jeux…
Et du multi-joueurs à quatre aussi !
Si le solo c’est de 1 à 2, le multi c’est de 1 à 4 et trois thèmes existent. La précision tout d’abord où il est question de tirer sur des cibles ; plus on avance dans le temps, plus elles deviennent folles et plus il est difficile de s’y retrouver. Vient ensuite un survival où il s’agit de rester le plus longtemps en vie ; le temps s’écoule, on gagne des secondes bonus entre les phases qui s’enchainent et où il est de plus en plus incertain d’assurer sa survie. Enfin, le dernier mini-jeu vous demande de protéger des prisonniers dans une prison afin qu’ils puissent regagner une cellule saint et sauf, sans que les zombies qui rodent ne les bouffent ; ici chaque joueur a une couleur à protéger. Un multi simple mais plutôt convivial du fait que les joueurs se partagent le même écran.
Du côté de la réa., elle est honnête car même si quelques saccades interviennent, elles ne gênent pas la performance pour dire d’être frustrantes. Le visuel in-game est convainquant et l’énergie plutôt bonne bien qu’à aucun moment elle ne relève du géni. On soulignera quand même une combativité des boss très peu inspirée. De même, mais ça c’est moins important, des séquences d’animation in-game moins bien soignées que celles d’action. Ne comptez pas sur moi pour raconter l’histoire car elle est beaucoup trop courte, alors je vous dirai juste que l’ambiance tranche en rapport aux précédents, avec beaucoup plus de parlottes. Un épisode plus chaleureux en somme, mais quand même bien dégueulassement goooore.
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/20 : The House of The Dead : Overkill est un opus bien particulier de la série puisqu’il s’applique à mettre en scène nos deux héros davantage que le joueur. Les grands fans n’apprécieront peut-être pas cet aspect là, mais devrait pourquoi pas se laisser convaincre sur le long terme par l’habillage aussi inédit que réussi, la difficulté à débloquer les extras qui pour certains sont bien hardcore. La mise en scène in-game rassure, mais en revanche ne comptez pas y trouver des boss coriaces. Le vrai challenge dans tout ça c'est la pure performance, celle de ne pas perdre un seul crédit, d’aligner les head shots et puis quand même de dézinguer des mutants à tout va dans une effluve de sang pour découvrir d’où ils viennent vraiment !
Gameplay : Du bon classique. Pas grandiose, Overkill se contente du minimum syndical qui mise sur l'habillage et le goût de la performance qu’aura le joueur. C’est un peu juste, mais ça suffit et puis ça rend aussi le titre accessible à tous.
Durée de vie : On prend peur passé trois heures et le mode histoire bouclé. Mais les choses sérieuses commencent après pour les joueurs avec le mode Version Intégrale. N’oublions pas le multi et les extras qui pour certains en demandent beaucoup.
Graphismes : Un habillage de série B convainquant. Le in-game l’est aussi, bien que les séquences d’animation soient très aliasées. Quelques saccades mais acceptables.
Audio : De nombreux morceaux. Une bande son que l’on assimile facilement aux thèmes entendus dans les films de Tarantino. Superbe ! vost.
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