Onechambara est la nouvelle référence des jeux d'action sanglants où la violence est omniprésente.
Les deus soeurds, Aya et Saki, mettent leur incroyable expérience de Samurai au service du peuple pour éliminer une armée de zombies qui terrorisent leur ville.
De superbes filles en bikini, des épées et des zombies... un univers culte qui débarque enfin en France.
Caractéristiques
Choisissez jusqu'à 5 personnages différents
Un mode coopératif jusqu'à 2 joueurs
Utilisez les pouvoirs dévastateurs de vos héroïnes pour achever vos ennemis
Utilisez votre télécommande Wii pour découper vos ennemis
Onechambara est l'ultime version du slash de zombies sur Wii
Ce premier trimestre 2009 restera dans les esprits certainement comme le plus ensanglanté de l’année sur Wii ! Si ce n’est d’ailleurs de toute son histoire. Tout juste après l’apparition de HOTD Overkill (Voir le Test), Dead Rising (Voir le Test) et devançant à peine celle de MadWorld (Voir le Test), nous célébrons à travers ce nouveau test la sortie de OneChanbara, une licence apparue pour la première fois en 2004 sur PlayStation 2, et que nous connaissions jusqu’alors dans nos vertes contrées sous les titres Zombie Zone et Zombie Hunters. Edité parallèlement à OneChanbara: Bikini Samurai Squad sur X-Box 360, OneChanbara: Bikini Zombie Slayers sur Wii est un hack’n slash qui par la structure de son contenu s’adresse là à de purs harcore gamers qui chercheront à tout débloquer. Une discipline qui ici aura de quoi vraiment les occuper…
Aya et Saki sont des demi-sœurs dont le corps est possédé d’un étrange pouvoir, ou pourrait-on même dire une véritable malédiction. Sans trop savoir pourquoi elles font partie de cette lignée qui combat l’invasion de zombies, le but étant de protéger les honnêtes gens. Toutefois, circule en elles le sang funeste, un liquide qui les transforme en une sorte de vampire dont le corp prend un certain plaisir à se laisser imprégner du sang et des boyaux de ces êtres venus d'on ne sait où, et crées par on ne sait qui. C’est ainsi que Aya et Saki sont en quête de vérité sur leur histoire, leur réelle mission. En découle alors un gameplay et un visuel des plus barbares, mais aussi les histoires des quatre nanas jouables dans cet opus, qui vous permettra quand même difficilement de cerner cet univers mystique.
Prise en main pertinente
OneChanbara: Bikini Zombie Slayers propose une montée en puissance qui va crescendo. A tel point d’ailleurs que les premières minutes de jeu ne s’avèrent pas des plus excitantes. Le stick permet de se déplacer, "Z" locker, "A" sauter ainsi que double-sauter et puis on balance les bras avec un coup de Wiimote et les pieds avec le Nunchuk. Cela nous parait peu et quelque peu rigide et rébarbatif. Néanmoins, c’est au final loin de l’être et les modes s’occupent de nous présenter les choses de manière didactique. Ainsi, plus on avance plus on débloque de mini-fiches tutorial qui nous expliquent les entrailles de ce gameplay particulièrement fluide. Tout d’abord, chaque personnage possède deux aptitudes au combat que l’on switch à tout moment (C). Si Aya peut passer en mode un ou deux sabres, Saki elle peut combattre à mains nues comme se servir de sa lame. Ceci étant dit, on peut aussi varier la puissance des coups…
Pour cela dans OneChanbara on n’a pas besoin de balancer ou incliner son bras et/ou son poignet dans tous les sens. Non ici seulement deux gestes sont reconnus : vertical pour un coup classique et en avant pour se ruer. Le reste s’opère en orientant le stick en direction des quatre points cardinaux. De cette manière on balance un ennemi dans les airs, l’éjecte vers l’avant mais on distribue aussi des attaques de périphérie afin de se défaire d’une mêlée. Si l’on gère de cette façon la puissance des coups, la rapidité dépend du timing. Il faut alors essayer de lancer une attaque juste après que la précédente ait fait mouche. Outre ces coups classiques, il existe les coups spéciaux qui se déclenchent grâce à la jauge d’extase. Celle-ci se remplie au rythme des combats et si celui-ci s’estompe, elle se vide. Pour en profiter il faut alors joindre une attaque classique au bouton "1", mais attention car cela consomme à chaque fois une barre de votre jauge de vie !
Quelles sont jolies nos filles en furie
Du côté des réceptacles, on trouve aussi la jauge de boyaux. Cette dernière représente l’amas de boyaux de zombies présent sur votre arme, alors de temps en temps il est nécessaire de la purger (B+Mouvement) ! Enfin, la jauge de furie (ou éclaboussure) correspond à l’imprégnation de sang dont votre guerrière fait l’objet. Une fois pleine, la belle passe en mode furie mais attention, si elle devient plus rapide et plus puissante, elle perd en même temps de sa vie alors il devient vital de récupérer des items qui peuvent la régénérer un peu, le mieux étant encore de se réfugier dans l’une de ces salles de purification que l’on trouve dans les niveaux, et qui vident la jauge furie. Pour le reste, du côté des actions défensives on trouve l’esquive qui selon la distance dont vous vous trouvez de l’adversaire que vous lockez, permet de faire de plus ou moins gracieuses pirouettes, ou le cas échéant passer derrière lui.
Au final, avec un peu de pratique ce système de combat s’avère tout à fait convenable et même bien plus que ça. Plus le temps passe plus il devient énergique, vibrant et même technique car, au risque de trop entrer dans les détails, je vous épargnerai les plus techniques. Toutefois, il est bon de savoir que la gestion de caméra pose quelques problèmes qui enraillent un peu la performance du joueur. Cette dernière se gère avec les boutons "–" et "+", ou peut être repositionnée derrière le personnage via "Z". Le souci en combat c’est qu’il est assez difficile de se replacer de façon intuitive face à un ennemi positionné derrière soi, même si, avec le temps, il apparaît qu’on puisse locker de plus en plus loin, et qu’avec l’esquive on arrive avec de la pratique à maintenir durant quelques secondes le montant des combos intact. A noter que l’on peut aussi switcher de cible en appuyant sur le bas de la croix directionnelle.
Montée en puissance longue
A présent qu’on a fait le tour de la prise en main, il faut dire que les ressources prennent une place significative pour qui souhaitera devenir un maître à OneChanbara: Bikini Zombie Slayers. La montée en niveau est longue et les développeurs nous proposent quelques tips pour essayer d’aller plus vite. C’est alors que nos défunts zombies laissent derrière eux orbes, gemmes et autres objets magiques. En fin de niveau le calcul de votre bonus de point expérience est fonction du nombre d’orbes récupérés, de combos, de temps, de vie et d’objets. La chose est qu’il est possible grace au combo d’atteindre différents stades de transe et plus la transe est élevée, plus l’orbe laissé par un zombie sera gros. De la même façon on peut énerver les zombies par une raillererie qui va les exciter et les rendre plus rapides et puissants. Les liquider dans cet état vous rapporte plus de points, et des orbes aussi plus importants.
Au-delà des orbes, il existe en gros deux sortes d’item bonus, les objets et les anneaux. Si les objets pourront être consommés et dire d’avoir un impact sur les jauges et de manière globale sur tous les aspects du gameplay de façon ponctuelle, les anneaux le font aussi mais de manière constante. Pas loin d’une vingtaine d’anneaux se cachent dans le mode histoire, alors il est important de vraiment tout liquider si vous désirez tous les trouver. Pour conclure sur le gameplay, il faut bien prendre conscience que l'on gère ici ses personnages à la manière d'une carrière. Ainsi, les items et power-ups peuvent servir dans tous les modes, et la montée en niveau profite également partout. Le level-up s'opère aussi grace aux points de développement. Ceux-ci vous permettent alors de rendre plus fort un personnage en les répartissant entre "Aptitude", "Vitalité", "Puissance" et "Allonge". Pensez qu’on peut faire ça pour les quatre personnages jouables, alors on ne compte plus les heures pour les amener au top de leur art.
Un contenu retors pour qui accroche
Le contenu de OneChanbara: Bikini Zombie Slayers est également largement satisfaisant pour qui accrochera. Le mode Histoire vous permettra alors de vivre quatre récits différents, celui de Aya et Saki ainsi que deux autres à débloquer. L’histoire de chacune est découpée en huit chapitres qui se bouclent en tout juste trois heures chacun. La composition des niveaux n’est pas des plus grisantes. On est vraiment là uniquement pour découper du zombie et par moment un boss. Toutefois, les environnements sont assez variés : station de métro, hôpital, église, forêt, on passe dans un même niveau d’un bâtiment, à l’air libre par l’intermédiaire de zones de téléchargement. Pour le reste il existe un mode "Entrainement" ainsi que les modes "Libre" et "Survie" jouables en solo ou en co-op écran splitté. Dans Libre on peut refaire tous les chapitres accomplis en histoire pour améliorer ses stats, mais aussi - comme dans Survie - y accomplir les quêtes…
Tuer un minimum d’ennemis, ne pas se faire frapper une seul fois, finir dans le temps imposé, etc. Au total il existe pas moins de 160 missions (40 par perso.) pour lesquelles il est vivement conseillé de faire du level-up avant espérer y toucher sa bille. Si atteindre les objectifs débloque petit à petit toutes les tenues affriolantes de nos demoiselles, dans le mode histoire il sera question de déverrouiller les niveaux de difficulté car si on commence en "Facile" ou "Normal", après on pourra faire son apprenti boucher en "Hard", "Violent" et "Bersek" alors accrochez-vous ! N’oublions pas enfin la zone "Affichage" où l’on accède au profil des tueuses et des zombies (dont le bestiaire n'est pas si varié, mais dont certaines spécificités vous demandent de casser une défense, des gestes techniques ou encore d'éviter des tirs nourris), à toutes les animations 3D et plus encore. De Bikini Zombie Slayers on peut donc en conclure qu'il est un véritable et plutôt bon jeu de genre, car c’est bien comme cela qu’il faut l’interpréter.
15
/20 : Avec ce OneChanbara, Tamsoft nous prouve qu’il y a moyen de faire sur Wii un jeu de baston des plus phénoménaux (Aka SoulCalibur). Les coups sont nombreux et variés d’un personnage à l’autre. Ils partent au quart de tour et il suffit juste d’orienter le stick pour dire de choisir l’attaque que l’on souhaite lancer. Jeté de Wiimote pour épée(s) et poing(s), Nunchuk pour les pieds, cette gesticulation suffit pour s’y croire encore plus. Tout ceci fonctionne plutôt bien et les mécanismes de level-up et de combos que nous proposent les développeurs, permettent réellement de devenir maître en la matière de trancher du zombie. Alors bien sûr n’attendez pas y trouver de l’aventure ou de la plateforme. Ce OneChanbara est un véritable jeu de genre, un hack’n slash qui va au bout de son concept et qui le fait en toute honorabilité.
Gameplay : Très instinctif et surtout à terme particulièrement spectaculaire. On tranche à tout va tellement il y a de zombies par niveau dans le mode histoire qu'on ne peut les compter, et on apprend crescendo à devenir un virtuose dans ce domaine. Réservé aux 18 ans et +, bien sûr.
Durée de vie : Un contenu énorme pour tout hardcore gamer qui se respecte. Énormément de choses à débloquer, quatre personnages à monter en niveaux, modes co-op deux joueurs. Mais bien sûr il faut avoir le goût de refaire encore et encore les choses, dans ce sens les 160 missions aident...
Graphismes : Agréable surprise. Le jeu est lumineux et assez fin, alors il est vraiment dommage que l’aliasing soit si prononcé. Des tonnes de zombies et de giclures à l’écran sans pour autant de réels ralentissements. Une optimisation correcte en somme, bien que la Wii soit encore capable de mieux.
Audio : Du rock’n roll qui fout la patate avec ses nombreux titres. Les voix jap, pour le coup on adore.
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Un très bon soft mais qui sera malheureusement descendu par les soit disant site pro. Sinon ouai graphiquement je suis surpris, les persos ne sont pas moches, seul les décors sont horrible mais sinon c'est pas mauvais graphiquement (et surtout honte à Capcom avec son dead rising Wii, moche, des zombies qui apparaissent comme par magie alors qu'ici 100 zombies sans aucun ralentissement, moi je dis bravo tamsoft petite conpagnie qui met une branler à capcom).